Une colocataire intrusive

Catégories : Femmes fessées
il y a 1 an

Il m’a quittée. Il est parti travailler. Je m’étire voluptueusement. Je somnole. Quelle nuit, non mais quelle nuit ! Ah, il sait y faire, le salaud, ça, on peut pas dire. Je n’étais plus que jouissance. Bloc de jouissance éperdue. Fessée. Enfilée. Tringlée. Baisée. Fouettée. Pour mon plus grand plaisir. Et le sien. Je suis repue. J’ai un brasier dans le derrière. Qui irradie partout. Dans mes cuisses. Dans ma chatte. Et jusqu’à la pointe de mes seins. Mais je suis heureuse. Rassasiée. Comblée.

La clef dans la serrure de la porte d’entrée. Sa colocataire. Il m’a prévenue.

  • Elle travaille de nuit. Elle rentre vers dix heures. Mais elle est très discrète. Elle s’occupera pas de toi…

Discrète ? Voire. La porte de la chambre s’entrouvre tout doucement. Je feins un profond sommeil. Elle se referme sans bruit. Des odeurs de pain grillé et de café entremêlées viennent me titiller les narines. Je pense à lui… À ses bras. À ses mains. À sa bouche. À sa queue. Et dire que j’ai failli l’envoyer sur les roses quand il m’a abordée. Une belle connerie que j’aurais faite là, oui !

La porte se rouvre. Ne se referme pas. Pas tout de suite. Elle s’approche du lit. À pas de loup. Je le sais. Je le sens. Elle me regarde dormir. Longuement. Et elle repart sans bruit. Est-ce qu’il la tire, elle aussi ? Peut-être. Et puis peut-être pas. Qu’est-ce que ça peut bien me faire ? J’en ai rien à foutre. C’est leur problème. La seule chose que je lui demande, c’est qu’il m’éblouisse, moi, encore et encore de plaisir. Le reste…

Elle n’y tiendra pas. Elle va revenir. Je donnerais ma main à couper qu’elle va revenir., qu’elle en crève d’envie. Je relève une jambe. Je la replie. Ma chemise de nuit remonte, me dévoile. Tant qu’à venir voir, qu’elle ait quelque chose à voir… Dans la rue, en bas, il y a des appels, des coups de klaxon. Tout un fourmillement. Quelqu’un tape violemment sur quelque chose. Des nuages dessinent un sexe d’homme dans le ciel. Je souris. Est-ce qu’il voudra que ça continue, tous les deux ? Au moins un peu. Quelques jours. Quelques semaines. N’y pas penser. Ne pas nourrir de faux espoirs. Laisser les choses venir. À leur rythme. Comme elles l’entendent.

Et ça y est. Je l’avais dit. Je l’avais pas dit ? Elle est là, juste en face. Tout près. Elle reluque mes fesses d’un rouge endolori. Elle se gave de ma chatte entrebâillée. Me croit-elle vraiment endormie ? Est-elle persuadée, au contraire, que je fais délibérément semblant ? À moins qu’elle ne se pose la question. Que cela ne l’excite de se poser la question. Elle déglutit. À plusieurs reprises. Sa respiration s’accélère. Elle contourne silencieusement le lit, s’assied, du bout des fesses, à mes côtés. Mon souffle à moi est calme, paisible. Elle avance la main, la retire. Elle hésite. N’y tient pas. N’y tient plus. Elle m’effleure un sein, s’enhardit, en saisit délicatement la pointe entre le pouce et l’index, la fait se dresser, durcir. Son autre main se pose sur mes côtes, descend en lente, très lente caresse jusqu’au pli de l’aine. Elle y séjourne, un long moment, et puis elle contourne, s’empare de ma fesse…

  • Elle est brûlante.

Elle la parcourt, la polit, en éprouve inlassablement le grain et la texture.

  • Il t’a pas loupée…

L’autre fesse maintenant. Les deux.

  • Et toi, tu t’es laissée faire. Sans essayer de te défendre. Sans même protester. Non ? Je me trompe ?

Je ne réponds pas. Je ne réponds rien.

  • Tu y as pris du plaisir, je suis sûre. Hein que tu y as pris du plaisir ? Évidemment. C’est honteux. Honteux ! Et ça mérite… Tourne-toi !

Si elle veut. Comme elle veut. Je me tourne. Sur le ventre. Elle se penche à mon oreille.

  • Tu vas voir… Par-dessus la première qu’est encore toute chaude, tu vas déguster, ma petite, alors là, tu vas déguster !
Dire qu'elle n'avait pas rencontré, des deux locataires, le plus sadique. Très bonne entrée en matière. L'évolution du langage entre la poésie du début et les termes plus crus de la fin met du relief d'un prologue pour une bonne histoire
très jolie perceptive , vivement la suite
Très jolie début, une plume bien agréable à lire^^
Publicité en cours de chargement